Mois: février 2008

La saloperie du jour – Le jeu du 21eme siècle

On va finir par croire que le tenancier du blog est un aigri, mais puisqu’on réclame

alors aujourd’hui il s’agit d’un jeu « éducatif » pour enfants, Scan-it :

Elle est pas belle notre société ?

Scan It® is an educational and creative play toy that helps children become acclimated with airport and public spaces security.

Pourquoi je n’acheterai plus le journal « La décroissance »

Ça lui pendait au nez, le mois prochain, je n’achetarai et ne lirai plus le « Journal de la décroissance et de la joie de vivre ». Le mois de trop. Trop de haine, de colère, d’acharnement, d’aigreur seront venues à bout de mon envie de lire ce journal.

La goutte qui a fait déborder le vase, c’est l’article de ce mois ci sur les mouvements qui essaient de « s’approprier » le concept de décroissance. Même si je trouve qu’il est intéressant de regarder ceux qui partagent nos avis sur la question, force est de constater que ce n’est pas sous cet angle qu’a été écrit l’article. Les auteurs de la décroissance semble s’approprier le concept de décroissance (mais ne sont-ils pas déjà appropriés le terme ?). Paroxysme de la mauvaise foi, la pique envers le site decroissance.info, assimilé peu ou prou à des intégristes d’extrème droite, sans aucune justification dans leur journal, et qui créé un amalgame malsain avec les autres courants dénoncés (souvent apparentés extrème droite). Et d’ailleurs je pose la question, en quoi un mouvement de (d’extrême) gauche est-il plus légitime qu’un mouvement d’extrême droite pour parler de décroissance ?

Le journal de la décroissance se focalise sur certaines personnalités, mouvements et manifestations, sur lesquels il tire à boulets rouges dès que l’occasion s’en présente (ou même quand elle ne se présente pas, d’ailleurs) : Hulot, Arthus Bertrant, Voynet, Grenelle, etc. Même si je suis très critique envers ces personnes, ce pillonage massif est contre productif. Le journal donne du mouvement décroissance une vision de sectaires aigris et moralistes.

Où est donc passée la joie de vivre ?